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Retrouvez ci-dessous une version format texte de l’épisode #2 de Voices of Learning – Trouver un équilibre humain/technologie dans la formation – François Debois de L’Oréal !

Voices of Learning

Emmie: Bonjour à tous et à toutes! Et bienvenue sur le podcast qui donne la parole aux experts de la formation. Chaque mois, nous recevons un invité qui nous éclairera sur sa vision du monde, ses fiertés, ses frustrations, ses conseils et surtout quel avenir pour la formation ? Notre objectif est de comprendre le passé pour mieux anticiper le futur de la formation.

Alors nous interrogeons des professionnels de différents types d’organisations, entreprises, organismes de formation, influenceurs et bien d’autres encore pour une rétrospective complète et enrichissante. Lors du dernier épisode, nous avions reçu Yannig Raffanel avec ses multiples casquettes. Aujourd’hui, nous accueillons une nouvelle voix et cette fois-ci orientée corporate. Alors pour ce nouvel épisode de Voices of Learning, j’ai le plaisir de recevoir François Debois de L’Oréal. Bonjour François, merci beaucoup d’être présent parmi nous.

Je vais te laisser la parole pour que tu puisses te présenter et nous en dire un peu plus sur ton métier.

François: Bonjour Emmie Merci de m’accueillir dans ce nouvel épisode de Voices of Learning Je suis ravie de passer ce moment avec toi et avec nos auditeurs. Donc moi je suis François. Ça fait plus de vingt ans que je travaille dans le monde du learning.

J’ai été consultant formateur, donc en charge de développer des projets de formation sur mesure pour mes clients. Et puis j’ai été responsable d’une gamme de formation, sur le thème du management de projets d’innovation. Puis j’ai été en charge de l’innovation au sein du groupe Cegos et aujourd’hui je pilote les opérations de learning chez L’Oréal.

Donc concrètement, mon équipe gère l’écosystème digital learning, la data, les méthodes de travail entre nos équipes globale, nos zones et nos pays et le l’upskilling de notre communauté sur le learning. Donc voilà, comme tu peux le constater, j’ai vraiment exercé une série de métiers très différentes dans le monde du learning.

Emmie: Pourquoi est ce que tu as voulu travailler dans la formation ?

François: Alors c’est arrivé complètement par hasard. Avant de rejoindre Cegos , je travaillais dans les sales pour un groupe de confiserie de chocolat américain. Je me suis rendu compte que, en m’intéressant à mes clients, aux collaborateurs de mes clients, en leur donnant des informations sur les produits, sur la la qualité des produits sur le merchandising ça avait un impact favorable sur les ventes.

Donc j’ai monté un programme de formation sans avoir aucune expertise sur le sujet et ce programme a très bien fonctionné. Moi, ça m’a vraiment donné le virus de l’information parce que j’ai vu l’impact sur les individus et sur la performance. Et à partir de ce moment là, c’est vraiment devenu ma trajectoire professionnelle et j’ai eu cette opportunité d’entrer dans un organisme de formation et ça m’a confirmé que j’étais sur la bonne voie.

Emmie: En effet, quel beau changement de parcours ! J’en viens à ma question suivante. On va commencer à entrer dans le vif du sujet. Quelles évolutions ou quels événements marquants as-tu vu dans le monde du learning ces cinq, dix ou quinze dernières années ?

François: Ah alors des évolutions, c’est sûr qu’on a connus. On peut même dire qu’on a connu quelques disruptions au cours des dernières années.

Et si je devais faire un zoom spécifique, je dirais que la première évolution marquante de notre métier, c’est celle du marketing, de la formation. De la même manière que dans le business, l’expérience a supplanté le produit, c’est à dire qu’on est plus attentifs aux émotions qu’on fait ressentir au consommateur dans l’acte d’achat, dans la consommation du produit.

Dans notre monde de la formation, on est de plus en plus attentifs à ce qui environne l’événement de formation en tant que telle, donc ce qui se passe en amont, la manière dont on peut créer les conditions de l’engagement, des learneurs comment on peut les mettre en projet d’apprendre et puis ce qui va se passer en aval de la manière dont on peut les stimuler.

On peut même parler de nudge si on reprenait le vocabulaire du marketing. Comment les stimuler pour qu’ils aient l’envie d’appliquer en situation de travail ce qu’ils ont appris, et donc de plus en plus, on s’inspire de techniques de marketing pour créer les conditions de l’engagement en amont et créer les conditions de la mise en oeuvre.

Et ça, pour moi, c’est la première grosse évolution majeure de notre métier la deuxième évolution majeure, c’est celle de la data. Alors ça, ça semble un peu une évidence en fait, en réalité, on a toujours eu une appétence pour la data, parce qu’on a toujours eu l’habitude de mesurer alors soit la satisfaction, soit la perception de l’impact de nos actions de formation dans le passé. On a toujours fait ça. Le point de bascule je trouve aujourd’hui, c’est que jusqu’à aujourd’hui, en fait, on était dans une logique de descriptive analytique, c’est à dire qu’on regarder dans le rétroviseur ce qu’on avait fait, la qualité de notre action. Et puis parfois, on était content, parfois les témoins.

Mais finalement, l’action était déjà réalisée. Là on va entrer de plus en plus dans des niveaux de maturité supérieure dans la data. Donc au-delà de décrire en fait ce qui s’est passé. On va entrer de plus en plus en du prédictif, voire dans du prescriptif, c’est à dire que la data va orienter notre action.

Il va nous aider à mieux piloter finalement notre activité, l’impact qu’on peut apporter aux individus et à l’organisation. Donc finalement, on est dans la continuité de la data mais avait quand même un vrai. Une vraie maturité additionnelle est un champ des possibles qui s’ouvre, que je trouve vraiment, vraiment fascinant.

Donc ça, pour moi, c’est la deuxième grosse évolution. La troisième qui est lié en fait à la data, c’est celle de performance. Donc dans le passé, c’est vrai qu’on pouvait percevoir un peu comme une commodité, et la devient de plus en plus stratégique partenaire. En tout cas, aujourd’hui, on sait qu’il y a une exigence de pour accompagner des projets de transformation de d’upskilling massif de de certaines populations en complément d’assurer le run, parce qu’il faut quand même assurer un socle de compétences de base à tous les collaborateurs qui sont qui sont dans leur fonction.

Donc on a un vrai, en tout cas une vraie exigence additionnelle sur le en termes de performance. et pour moi, la quatrième e évolution e, c’est le fait qu’on qu’on devienne finalement des grands praticiens de la tech. Alors c’est vrai que là aussi, on a un [00:07:00] héritage de sa ont manipulé déjà du et des dans le passé.

Mais avec la pandémie, on va dire que e le gars a changé la classe virtuelle, c’est diffuser plus efficacement. C’est assez intéressant de dire qu’il y a trois ans, c’était pas si évident que ça e de mobiliser des collaborateurs en classe virtuelle et de les organiser au sein des organisations, alors que maintenant c’est devenu une évidence e pour tout le monde.

Et au-delà de ça, on voit bien qu’il faut maîtriser un écosystème d’outils auteur de plateformes de On voit que demain, il faudra maîtriser du code nos codes. Donc il faut qu’on devienne amis a minima, un peu tous avec. Voilà une appétence pour la technologie, une compréhension des mécaniques, de des projets de systèmes d’information.

Parce que euh, c’est aussi des attentes du que d’être efficient sur la partie tech. Donc en fait pour moi, et il y a à la fois de la continuité, il y a des choses qu’on faisait déjà e sur l’a encore sur la data, sur les mesures de performance, sur la tech mais on est vraiment en train de rentrer dans une ère où notre niveau de maturité dans leur ni ne se développe.

Et le défi, c’est qu’on garde quand même notre ADN pédagogique. Parce que du marketing, de la date à la performance, de latex en pédagogie, ne ça n’apporte pas de valeur par rapport à notre métier. Donc il faut qu’on garde finalement un vrai savoir-faire de pédagogie

Emmie: Que vois-tu apparaître d’intéressant sur le marché des prestataires de formation ?

François: Alors en ce qui concerne les contenus ou les technologies qui sont disponibles sur le marché, plus que jamais pour moi, on doit faire preuve de discernement. Alors savoir quand acheter du sur étagère? pour aller vite, parce que les produits, les technologies ont fait leurs preuves. Ils ont été testés par des centaines ou des milliers d’apprenants avec d’autres clients, donc ça permet de gagner en agilité et en rapidité de mise en oeuvre.

Donc ça, c’est un premier cas de figure. Et puis il y a le cas de figure. On doit se lancer du reçu du surnom du sur mesure, ce qu’il y a une vraie valeur ajoutée. Être sûr du sur mesure dans les contenus, dans l’approche pédagogique, dans la technologie, il y a un vrai défi, finalement guère d’aiguillage, qu’on doit jouer nous quand nos clients internes sollicitant, faite pour des programmes de du des transformations.

Donc on a de plus en plus une valeur ajoutée en termes de sourcing pour gagner en agilité, in fine, en performance sur les projets.

Emmie: Selon toi, quels sont les enjeux actuels auxquels se confronte la formation et également les enjeux en interne chez L’Oréal?

François: Alors pour moi, il y a un premier enjeu. qui est de réussir à sanctuariser du temps.

pour apprendre ce qu’on est dans une situation où la [00:10:00] charge de travail est massive. Les collaborateurs des organisations cherchent aussi à trouver de nouveaux équilibres dans des modes de travail hybrides. Donc le rapport au temps a évolué. Et c’est vrai qu’auparavant on était dans des unités de temps très consolidé quand on faisait du présentiels, donc on mettait les gens de jours en formation dans une salle, c’était vraiment du temps à la fois.

Consolider, protégée, on va dire de l’environnement extérieur la aujourd’hui, ce temps-là, il est plus fractionné dans le temps. et en plus, c’est du temps sur le poste de travail ou chez soi, dans des conditions. En tout cas, il y a un écosystème qui est différent. Donc comment sanctuariser du temps? Pour moi, ça passe d’une part par le fait de du temps, ce qui correspond bien aussi finalement.

Bonnes pratiques d’apprentissage. donc est ce que c’est du fric? D’e-learning? Qu’est-ce que c’est dû en des là? Je crois que chaque organisation peut développer les codes et les rituels qui peuvent convenir à ses rythmes propres. Mais le fait d’instaurer six rituelle, ça permet d’avoir un battement de cœur collectif et une vraie intention finalement d’apprendre au même moment.

Donc ça, c’est une première clé pour moi. La deuxième clé, c’est également. Ça peut sembler évident, mais d’avoir de très bons e produit, de très bonnes expériences de parce que plus nos l’expérience que nous délivrons seront stimulant. Plus, nos collaborateurs auront envie d’investir du temps pour apprendre.

Donc finalement, il faut qu’on crée une addiction au bingo au travers de la qualité de ce qu’on délivre et donc au-delà. Il y a des rituels à l’excellence de ce qu’on délivre. Et puis après, pour moi, le troisième point c’est de créer de l’intentionnalité chez les mineurs et les mettre en projet d’apprendre.

Versus leur poussée du contenu e vas-y vas-y vas-y apprend donc plus ça viendra deux plus ce sera en bonne logique de poules, plus on aura l’intentionnalité, plus ils vont par eux-mêmes dégager du temps pour apprendre. Alors nous, chez L’Oréal par exemple, on a mis en place un nouveau principe de conversation de mini foot conversations qu’on a appelées Connecte est un des enjeux de ces conversations.

C’est notamment de permettre aux collaborateurs de se fixer, avec son manager des objectifs de développement, de se projeter dans le futur dans les compétences qu’il ou elle souhaite acquérir, et donc ça crée un socle d’intentionnalité beaucoup plus fort. C’est pour moi une des clés pour réussir vraiment à sacraliser du temps pour apprendre.

Donc c’est pour moi le premier défi e la notion de temps. Et on a un deuxième défi qui est plus lié à notre modèle, qui est le fait de pouvoir simplifier. L’offre Et puis de personnaliser l’expérience. L’offre de formation, elle a toujours été. Donc c’est une offre dans lequel on peut avoir des centaines ou des milliers de produits disponibles pour les employés.

Et aujourd’hui, on entre dans une ère où nous apprenons e aussi parce qu’ils ont moins de temps. Ils sont, ils sont un peu perdus, donc il faut créer une expérience. Plus personnalisée, ça peut passer par des algorithmes, donc ça peut passer par la plateforme et de la technologie. Mais ça passe aussi pour moi par une meilleure prescription humaine.

Moi, je crois beaucoup à l’équilibre entre la technologie et l’humain. Donc on a plus que jamais besoin d’avoir des managers qui ont la capacité de faire des prescriptions très personnalisée, de jouer un rôle de conseil en fait très aiguë. Pour les apprenants les apprenant et pour les mettre sur les bonnes trajectoires et leur simplifier

la vie.

Emmie: Je sais qu’auparavant tu travaillais dans un gros organismes de formation. qu est ce que ça fait à présent d’être du côté des clients?

François: Alors c’est une bonne question. Alors je peux dire que je continue à driver le learning comme un business. Alors quand j’étais consultant, j’avais cet objectif d’assurer mon plan de charge, d’avoir un bon impact.

E dans les formations que je design et que je délivré, parce que c’est ça finalement qui créé e la fidélité de mes clients et qui simplifier la vie à l’arrivée. et j’ai envie de dire chez L’Oréal, c’est c’est pareil dans le sens où il faut qu’on assure une excellente qualité de nos prestations, des solutions de développement comme à disposition de nos collaborateurs.

Ça doit être finalement notre notre. Notre Nord Star est aussi qu’au travers de la data, on a une vraie capacité à comprendre ce qu’on délivre. Est à nouveau être prédictif par rapport à nos ambitions qu’on peut avoir sur une transformation  donner ou sur les compétences qu’on veut développer. Donc voilà, je me retrouve quand même quelques repères que j’avais déjà.

Et en même temps, c’est la première fois que je travaille pour un département puisqu’auparavant j’étais c’était, c’était donc cette notion-là est complètement nouvelle pour moi.

Emmie: est ce qu’il y a des innovations qui, selon toi, ont de l’avenir et d’autres auquel tu crois?

François: Moi, je crois que l’innovation est cyclique.

Donc je suis persuadé qu’on va redécouvrir des modes d’interaction des techniques d’animation pédagogique qu’on utilisait en fait en présentiels il y a vingt ans. Qui était très appropriées à l’époque, qui vont redevenir appropriée aujourd’hui parce qu’elles vont permettre de réenchanter des moments d’apprentissage.

Synchrones vraiment, de stimuler à nouveau e l’envie d’apprendre. Donc plus que jamais, on va se reconnecter à cette à ce moment là. Ses activités pédagogiques là et qui était extraordinaire à l’époque et qui vont redevenir extraordinaires. Et puis sur le plan technologique. Moi, je crois beaucoup en adaptive parce que ça correspond à un processus naturel d’apprentissage dans le temps.

Ça correspond à un besoin du business. Créer certaines pratiques professionnelles. C’est pour ça que je me suis intéressé à à à dans cet environnement datif au-delà de la On a une prochaine frontière, c’est celle du au plus haut, plus haut. Alors ce que j’entends par au plus haut, plus haut, c’est le alors pourrait correspondre aux au Métavers, ce en sachant qu’aujourd’hui on a déjà de belles expériences de formations immersives avec de la réalité virtuelle dans le monde du manufacturing links du rital de bord dingue donc on sait que ça peut, ça peut marcher et et en même temps, on n’est pas encore dans une logique de mondes persistants [00:17:00] tels que pourrait offrir le le met averses et pour moi, ça reste une question très ouverte e au sens où je ne suis pas encore sûre.

Que le métavers ce pourra améliorer l’expérience crée encore plus de liens ou accélérer la montée en compétences. Et je crois que la seule manière de répondre à cette question, ça va être testé à petite échelle, de faire des époques des concepts. Et d’apprendre de ça e collectivement Donc En tout cas, on sait qu’à court terme, la réalité virtuelle est très adapté à certains environnements.

Donc c’est déjà une première manière de mettre un pas dans cette, de faire un pas dans cette direction

Emmie: peut-être que tu as des conseils à donner ou des anecdotes à nous raconter.

François: en termes d’anecdotes. Moi, j’ai vécu quelques aventures de de consultants formateurs e croustillante, mais comme comme l’ensemble de de de mes collègues.

Donc j’ai été amené à animer dans une salle, sur un quai de gare avec [00:18:00] E moins de chaises que de participants, donc c’est un peu épiques. J’ai été amené à animer des formations dans une boîte de nuit, dans un refuge à dormir avec quatorze participants que je n’avais jamais rencontré de ma vie en n’étant pas du tout préparé à ça.

Et euh et en fait, même si sur le coup, euh, ça semble insurmontable, avec du recul, c’est l’expérience humaine qui sont extraordinaires. Et puis moi j’y pense régulièrement parce que finalement, notre d’information On est au coeur de ces expériences humaines, la de ce qui crée du lien, de ce qui forge l’expérience durable.

C’est aussi pour ça que moi, je considère que la formation contribue à la corporelle glou, parce qu’on met des gens d’horizons différents, ensemble, dans les mêmes, dans les mêmes lieux au même moment. Et puis, [00:19:00] pour peu que la pédagogie était bien pensé, il se passe des choses extraordinaires et ont créé du lien.

En créant cet actif de liens qui est juste incroyable. Voilà, je me remémore ces anecdotes un peu un peu fun avec des groupes.

Emmie: Je vais clôturer cette interview avec une dernière question. Quand As-tu entendu parler de deux motions pour la première fois et dans quel contexte?

François: Alors j’ai entendu parler de domoscio il y a quelques années dans le cadre d’un événement people développement et et comme je l’ai indiqué tout à l’heure et mis en fait euh moi j’ai une vraie appétence pour parce que c’est un vrai moyen de créer des parcours personnalisés pour nos apprenants.

et donc de leur permettre de consacrer du temps à des activités pédagogiques qui ont l’intérêt pour eux. Et pour moi, c’est vraiment un un cercle vertueux. Donc parce que ces activités pédagogiques auront du sens pour eux. Ils vont y [00:20:00] consacrer plus de temps. et donc ils vont se voir progresser de de plus en plus.

Donc vraiment, pour moi, c’est un vrai levier de motivation. C’est un vrai moyen d’efficacité pédagogique. C’est le moyen d’accéder à la compétence. Finalement, va être réduit grâce à et bien

Emmie: François, je te remercie pour cet échange. Ton expertise et ta vision des choses ont rendu l’interview vraiment très interessante ,encore merci,

François: merci pour l’invitation Et moi j’étais ravi de passer ce moment avec toi et avec nos auditeurs et à très bientôt.

Emmie: Merci à tous pour votre écoute en espérant que ce podcast vous aura plus. Nous nous retrouvons le mois prochain pour un nouvel épisode avec de nouvelles voix experte en En attendant, n’hésitez pas à partager ce contenu tout autour de vous.

Belle journée à tous !